vendredi 22 décembre 2017

Bonnes fêtes de fin d'année

Toute l'équipe du K Samka vous souhaite 
de bonnes fêtes de fin d'année !

Nous continuons notre route avec vous qui nous êtes fidèles, 
en compagnie de nombreux artistes que vous connaissez déjà 
ou que vous découvrirez peut-être...

Bien à vous,
Karinne Méraud, Directrice des productions


http://www.ksamka.com/index.php




jeudi 14 décembre 2017

Patrick Sims en tournée / Décembre 2017


Patrick Sims en tournée avec La valse des Hommelettes

21 décembre 2017 - 10h et 14h (scolaires) - Cébazat (63) 
22 décembre 2017 - 10h et 14h (scolaires) - Cébazat (63) 
18 janvier 2018 - La Souterraine (23) 
24 mars 2018 - 15h00 et 18h30 - Les Giboulées – TJP de Strasbourg (67)







La presse en parle

"Beau, inventif, déjanté: "La valse des hommelettes",
marionnettes et contes détraqués pour petits et grands..."
TOUTELACULTURE





lundi 13 novembre 2017

La Cantatrice chauve - Pierre Pradinas


INVITATION
(selon les places disponibles)



Bonjour à toutes et tous,
C’est avec plaisir, qu’au nom de Pierre Pradinas, je vous propose d’assister au spectacle de La Cantatrice chauve à Paris au Théâtre Le 13ème art.
Les représentations se déroulent : du mardi 14 novembre au dimanche 10 décembre 2017.
Du mardi au samedi à 19h et les dimanches à 17h.
Le théâtre est situé dans le 14e arrondissement Place d’Italie.
Pierre serait ravi de vous accueillir et vous rencontrer à cette occasion.
Restant à votre disposition, n’hésitez pas à revenir vers moi pour que je réserve vos places,
Très bonne semaine,
Bien à vous,
Françoise LEDAY
Compagnie Le Chapeau Rouge / Pierre Pradinas

Merci de réserver auprès de Karinne Méraud : 
 +33 (0)6 11 71 57 06
Mail : kmeraud@sfr.fr

Billetterie du théâtre Le 13ème Art :
01 53 31 13 13

En savoir plus sur le site du K Samka... 

mardi 10 octobre 2017

Ilka Schönbein - Article presse TouteLaCulture

Toutelaculture
Soyez libre, Cultivez-vous !
http://toutelaculture.com

Ilka Schönbein présente son ensorcelant "Ricdin Ricdon"
et confirme l'ampleur de son génie [FMTM17]

 



Ilka Schönbein est une artiste totale, par la maturité de ses propositions comme par
l'engagement avec lequel elle s'investit dans son art. Elle a toujours largement débordé de toute
case dans laquelle on aurait voulu l'enfermer. On l'a souvent comparée à Pina Bausch, dans sa
propre discipline, et il est impossible, après avoir vu ce spectacle, de ne pas acquiescer: oui,
Ilka Schönbein est possédée par une grâce, un génie et un talent propres à envoûter,
littéralement, quiconque s'y confronte. Avec Ricdin Ricdon, présenté au Festival Mondial des
Théâtres de Marionnettes, elle met en scène avec amour et précision un conte qu'elle relie au
destin de l'artiste, interprété par les talentueuses Pauline Drünert et Alexandra Lupidi. Un chefd'oeuvre.
[rating=5]
[gallery ids="518003,518005,518006,518007"]
Ilka Schönbein fait à peine de la marionnette: on a plutôt envie de suggérer qu'elle fait de la
sorcellerie. La sensibilité, le talent avec lesquels elle réécrit et met en scène des histoires à la
fois magnifiquement drôles et cruelles, des farces inquiétantes qu'elle habille de ses
marionnettes et de son jeu corporel particulier qui exige un engagement total, l'ont, de longue
date, classée à part dans le milieu des arts de la marionnette.

Après plusieurs années d'absence, c'est avec émotion et impatience que ce nouveau spectacle,
Ricdin Ricdon, inspiré du conte du même nom (le conte-type 500 dans la classification Aarne-
Thompson, aussi connu en France comme le Nain Tracassin, en Allemagne comme
Rumpelstilzchen), était attendu par le public. Ilka Schöbein y met en scène deux interprètes de
talent, Pauline Drünert, jeune marionnettiste allemande extrêmement prometteuse, et la
complice Alexandra Lupidi, génialissime musicienne dotée de surcroît d'un don renversant
pour la comédie. Sous de tels auspices, il semblait improbable que le spectacle soit moins que
génial.
De fait, en une soixantaine de minutes, toute l'inquiétante cruauté de cette sombre parabole
se déploie, dans une mise en scène épurée qui laisse un champ immense pour que le talent
des artistes puisse s'exprimer et amener le public à ressentir, le plus complètement, toutes les
nuances émotionnelles du récit. Pauline Drünert est ainsi juchée sur une sorte de podium d'où
elle manipule les marionnettes figurant les différents personnages: de simples têtes (pouvant
servir de masque) pour le Roi, le meunier et la Reine, et une très inquiétante petite marionnette
à main pour le nain Ricdin Ricdon, qui lui confère un aspect presque arachnéen, tout-à-fait
anormal et surnaturel. S'y ajoute l'incarnation en jeu de comédien de la fille du meunier, qui
donne lieu à des interactions typiques du style d'Ilka Schönbein entre la marionnette du nain et
sa manipulatrice, dont le corps se retrouve comme envahi par la marionnette, cette dernière
prenant à ce moment l'ascendant sur l'interprète, qui succombe presque à une possession. De
façon périphérique, de belles trouvailles dans des manipulations d'objets viennent figurer
certains événements, par exemple l'utilisation d'un parapluie pour cacher-révéler la marionnette,
ou pour figurer un ventre de femme enceinte, ou un berceau pour le nourrisson.
En appui de ce jeu marionnettique, la géniale Alexandra Lupidi donne la mesure de son
immense talent d'artiste, et de son aisance sur scène. Elle a la charge d'offrir un contrepoint à
l'atmosphère sombre et oppressante du conte notamment en offrant des interactions
comiques avec la salle. Elle le fait avec une gouaille, un sens du rythme et une maîtrise du
masque et des déguisements qui sont absolument sans faille. Elle prête également sa voix à la
plupart des personnages, renouvelant ainsi la dissociation, souvent rencontrée dans l'histoire
de la marionnette mais guère plus vue sur nos scènes, entre celle qui manipule et celle qui
interprète le dialogue. Mais, surtout, elle porte à elle seule toute la mise en musique du
spectacle, à la force de son talent de multi-instrumentiste, y compris les nombreuses
chansons qui émaillent les apparitions du nain, auquel elle insuffle une sorte de bouffonnerie
menaçante.
Pour Ilka Schöbein, ce conte est comme une allégorie du destin de l'artiste, qui, pour
transformer la paille en or métaphorique, doit lui aussi pactiser avec un démon, et lui céder
jusqu'à des parcelles de sa propre vie. "Quelque chose de vivant m'est bien plus cher que
toutes les richesses au monde", croasse ainsi le personnage surnaturel quand il exige
paiement. Et cette lente dévoration de l'intérieur, cette possession par un être insatiable tapis
dans les recoins de son propre esprit, Ilka Schönbein les donne à voir avec une rare
intelligence par son utilisation de la marionnette corporelle. Une pièce sombre, où plane,
comme toujours chez elle, la menace de la mort, mais également l'espérance et l'amour,
comme un appel à ce que jamais la vie ne renonce à se manifester dans toute sa beauté,
même au bord de l'abîme. Une farce inquiétante, visuellement magnifique.

La salle, debout, applaudira pendant dix longues minutes. Un public en larmes mais au comble
du bonheur.
D'Ilka Schöbein, on peut dire une chose avec certitude, alors même que beaucoup nous
échappent: il y a un avant, et il y a un après.
Les prochaines représentations de ce spectacle magique auront lieu les 15 et 16 novembre
2017 à 19h00 au Théâtre de la Poudrière - Neuchâtel (Suisse). Mais des dates
supplémentaires sont d'ores et déjà annoncées en France.
"Ricdin-Ricdon"
Directrice artistique et mise en scène : Ilka Schönbein
Jeu et musique : Alexandra Lupidi
Jeu et manipulation : Pauline Drünert
Création musicale : Alexandra Lupidi
Création des marionnettes : Ilka Schönbein
Assistante à la mise en scène : Anja SCHIMANSKI, Britta ARSTE
Création et régie lumière : Anja Schimanski
Décor : Suska Kanzler
"Et bien, dansez maintenant"

Avec : Ilka Schönbein
Musique : Suska Kanzler et Alexandra Lupidi
Visuels: (c) Marinette Delanné


jeudi 5 octobre 2017

Patrick Sims - article presse Toutelaculture




Beau, inventif, déjanté: "La valse des hommelettes",

marionnettes et contes détraqués pour petits et grands

[FMTM17]

Pour finir le tour d'horizon des spectacles enthousiasmants présentés au Festival Mondial des
Théâtres de Marionnettes, impossible de ne pas évoquer le spectacle La valse des hommelettes, de Patrick Sims - Cie Les Antliaclastes. Un spectacle poétique et loufoque, qui part d'une proposition simple et prometteuse: que se passe-t-il à la 25ème heure de la journée, celle du Petit Peuple, quand les Elfes sortent de leurs cachettes pour se mêler des affaires humaines? Mélange de jeu masqué, de marionnettes, entremêlant contes populaires et métahistoire décalée, c'est un voyage loin de tout ordinaire qui invite le spectateur à rêver éveillé. Une mécanique merveilleuse, à découvrir à tout âge!




Pour représenter le temps du merveilleux, la Compagnie Les Antliaclastes a eu l'idée de
représenter le nombre XIII sur un cadran d'horloge... et a entrepris de construire autour l'un des castelets les plus beaux et les plus ingénieux qui aient été proposés ces dernières années.
Doté d'une table à l'avant-scène, pour une manipulation à vue, il recèle mille trésors d'inventivité et mille détails minutieux. Librement inspiré des horloge de la Forêt Noire, ses trappes et ses mécanismes sont tous au service d'un univers fantastique, étrange, facétieuxautant qu'inquiétant. Visuellement, on dirait qu'un artiste amateur de steampunk s'est employé à imaginer la transposition des contes des frères Grimm aux Alpes Suisses. C'est esthétique, surprenant, souvent truffé de gags visuels, cela ne se prend pas au sérieux tout en étant fignolé au détail près... un délire bien réglé, en somme!




Sur le fond, on retrouve un tricotage de plusieurs contes des frères Grimm, tournant autour des
Elfes, avec, notamment, une très jolie mise en marionnettes à fils de « le Cordonnier et les Elfes». Mais une métahistoire a été conçue pour enrober les moments de conte, qui vaut à elle seule le détour: une femme-oiseau de taille humaine file la laine pour construire le nid où écloront ses quatre oeufs; un homme-lapin, lui aussi de taille humaine, se promène avec un improbable fusil en observant le public (et en guettant le coucou); l'oisillon monstrueux et fratricide né de l'éclosion donne à l'homme-lapin l'occasion de se préparer une omelette; le deus ex machina viendra finalement d'une autre galaxie... C'est constamment déjanté, absolument drôle, délicieusement irrévérencieux, mais, surtout, cela contribue puissamment à ôter au spectateur toute envie de rationaliser ou de s'accrocher à ses repères familiers, et la résultante est un lâcher-prise de premier ordre, qui fait un bien extraordinaire.

La manipulation des nombreuses marionnettes à fils est plutôt très réussie, malgré la complexité de ces dernières, souvent petites, et pourvues de très nombreuses commandes, tandis que les quelques marionnettes à main ou à tiges nous semblent irréprochables. Le jeu corporel est précis, expressif et juste (la femme-oiseau et l'homme-lapin sont joués par des comédiens masqués et déguisés, ce qui les fait presque rentrer dans le territoire de la sur marionnette; le cordonnier et son épouse sont joués en masque). Le jeu d'ombres est utilisé très à propos, de façon parcimonieuse mais poétique.

La mise en lumière est subtile, et crée de très efficaces focus sur l'action, qui tient parfois dans un espace de jeu minuscule lorsque le Petit Peuple est figuré par des marionnettes qui ne doivent guère faire plus de 20 centimètres. Une telle minutie dans les costumes, effigies et décors réclamait un éclairage intelligent, et sa réussite mérite d'être soulignée. La partition sonore n'est pas en reste et tient très habilement le fil entre réalisme et étrangeté.
Un spectacle très esthétique, vraiment dépaysant, très drôle en même temps que très poétique, avec une réalisation extraordinairement soignée et une vraie richesse technique: que demander de plus?

Ce très sympathique spectacle est en tournée:
- 15 octobre au Festival les Automnales, à Saint-Bonnet (63)
- 11 & 12 novembre aux Semaines Internationales de la Marionnette en Pays Neuchâtelois, à
La Chaux-de-Fonds (Suisse)
- 19 novembre retour au Festival les Automnales, mais à Veyre-Monton (63)
- 21 & 22 décembre à Cébazat (63)
- 18 janvier 2018 à La Souterraine (23)



samedi 16 septembre 2017

Les créations du K Samka à Charleville-Mézières



Bonjour,

J'ai le plaisir de vous annoncer les prochaines créations du K Samka en septembre 2017 au Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville-Mézières (08) :



 "Ricdin-Ricdon" & "Et bien, dansez maintenant"
d'Ilka Schönbein et Alexandra Lupidi

• 16 septembre 2017 - 20h30 à la MJC de Sedan (08)
• 19 septembre 2017 - 16h00 & 21h00 à la Salle Jean Macé - Charleville-Mézières (08)
• 20 septembre 2017 - 15h00 & 19h00 à la Salle Jean Macé - Charleville-Mézières (08)


"Blanche-Ebène" (Version Rue)
de Laurie Cannac

•21 septembre 2017 à 21h (Version Rue) - Ile du vieux Moulin - Charleville-Mézières (08)
•22 septembre 2017 à 21h et 23h00 (Version Rue) - Ile du vieux Moulin - Charleville-Mézières (08)
•23 septembre 2017 à 21h (Version Rue) - Ile du vieux Moulin - Charleville-Mézières (08)
Le spectacle est en entrée libre mais des places pourront être réservées si vous le souhaitez,
uniquement sur demande auprès de Karinne Méraud :
+33 (0)6 11 71 57 06
karinne@ksamka.com


"La Valse des Hommelettes"
de Patrick Sims

• 24 septembre 2017 à 14h00 et 17h00 - Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes
Le Forum - Charleville-Mézières (08)

Ces spectacles sont disponibles en 2018-2019



Ricdin-Ricdon & Et bien, dansez maintenant

Ilka Schönbein et Alexandra Lupidi
 



















Dates de création et de représentations 

Création au Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville-Mézières en soirée
"Ricdin Ricdon" et "Et bien dansez maintenant" avec Ilka Schönbein, Alexandra Lupidi et Suska Kanzler
 
• 16 septembre 2017 - 20h30 à la MJC de Sedan (08)
• 19 septembre 2017 - 16h00 & 21h00 à la Salle Jean Macé - Charleville-Mézières (08)
• 20 septembre 2017 - 15h00 & 19h00 à la Salle Jean Macé - Charleville-Mézières (08)
• 15 novembre 2017 - 19h00 au Théâtre de la Poudrière - Festival de Neuchâtel (Suisse)
• 16 novembre 2017 - 19h00 au Théâtre de la Poudrière - Festival de Neuchâtel (Suisse)
• 20 novembre 2017 - 14h00 au Théâtre des 4 Saisons - Gradignan (33)
• 21 novembre 2017 - 14h00 & 20h15 au Théâtre des 4 Saisons - Gradignan (33)
• 23 novembre 2017 - 14h00 à L'Agora - Théâtre Saragosse de Pau - Billère (64)
• 24 novembre 2017 - 14h00 & 20h00 à L'Agora - Théâtre Saragosse de Pau - Billère (64)
• 4 décembre 2017 - 14h30 à la Scène Nationale de Sète (34)
• 5 décembre 2017 - 10h00 & 19h00 à la Scène Nationale de Sète (34)

 
Ricdin-Ricdon / Et bien, dansez maintenant
"Filer la paille et la transformer en or ? Voilà un art qui me plaît bien, dit le roi."
"Quelque chose de vivant m'est bien plus cher que toutes les richesses au monde, dit le petit homme." Voilà les deux phrases essentielles de ce conte. Entre elles s'écoule tout le récit.
Il y a longtemps que ces deux phrases résonnent dans mon oreille. Il y a deux ans, j'ai mis les mains dans la terre pour en faire un petit spectacle. À peine trois semaines à travailler pour l'achever...

En savoir plus sur le site du K Samka







Blanche-Ebène (Version Rue)

Laurie Cannac




















Dates de création et de représentations 

Création de la Version Rue à MIMA le 5 août 2017 - Mirepoix (09)
et au Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville-Mézières (08) les 21, 22 et 23 septembre 2017
Création de la Version Salle le 27 octobre 2017 à 20h30 à L’ECLA - Festival Les Contes Givrés - Saint-Vallier (71)
 
• 21 septembre 2017 à 21h (Version Rue) - Ile du vieux Moulin - Charleville-Mézières (08)
• 22 septembre 2017 à 21h et 23h00 (Version Rue) - Ile du vieux Moulin - Charleville-Mézières (08)
• 23 septembre 2017 à 21h (Version Rue) - Ile du vieux Moulin - Charleville-Mézières (08)
• 27 octobre 2017 à 20h30 (Version Salle) - Festival Les Contes Givrés à L'ECLA de Saint-Vallier (71)
• 9 février 2018 (Version Rue) - Festival A Pas Contés - ABC - Dijon (21)
• 10 février 2018 (Version Rue) - Festival A Pas Contés - ABC - Dijon (21)
• 13 février 2018 (Version Salle) - Théâtre de Corbeil-Essonne (91)
• 14 février 2018 (Version Salle) - Théâtre de Corbeil-Essonne (91)
• 27 février 2018 à 14h15 & 20h00 (Version Salle) - Scène Nationale de Besançon (25)
• 28 février 2018 à 10h00 & 20h00 (Version Salle) - Scène Nationale de Besançon (25)
• 1er mars 2018 à 10h00 & 14h15 (Version Salle) - Scène Nationale de Besançon (25)
• 3 avril 2018 à 10h00 & 14h30 (Version Salle) - Com d'Agglo Pays Basque - Urrugne (64)
• 4 avril 2018 à 10h00 (Version Salle) - Com d'Agglo Pays Basque - Urrugne (64)
• 5 avril 2018 à 14h30 & 20h30 (Version Salle) - Com d'Agglo Pays Basque - Urrugne (64)
• 7 juin 2018 (Version Rue) - Mi-Scène - Poligny (39)
• 9 juin 2018 (Version Rue) - Mairie de Chevigny Saint-Sauveur (25)

 
Blanche-Ebène (Version Rue)
Partant d’une interrogation profonde sur l’identité féminine, Laurie Cannac a d’abord enquêté sur l’image de la femme à travers les mythes et les contes. Ses sources principales sont les analyses de Marie-Louise Von Franz, élève de Jung, La Femme solaire de Laure Salomon , La Femme celtique et Mélusine de Jean Markale., Caliban et la soricère de Silvia Federici, L’Ane d’or d’Apulée, Les Métamorphoses d’Ovide, les contes de Grimm…
L’enjeu primordial qui lui est apparu est de représenter le conflit identitaire de la femme, oscillant entre la féminité normative que sa culture lui impose et une intuition plus complète de sa propre féminité...







La Valse des Hommelettes

Patrick Sims



















Dates de représentations 

• 20 septembre 2017 à 20h00 – Le Bastringue de Cosne d’Allier (03)
• 24 septembre 2017 à 14h00 et 17h00 - Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes - Le Forum - Charleville-Mézières
• 15 octobre 2017 à 15h00 et 18h00 - Festival les Automnales – Salle Polyvalente de Saint-Bonnet (63)
• 11 novembre 2017 - Semaines Internationales de la Marionnette en Pays Neuchâtelois - Centre de Culture ABC - La Chaux-de-Fonds (Suisse)
• 12 novembre 2017 - Semaines Internationales de la Marionnette en Pays Neuchâtelois - Centre de Culture ABC - La Chaux-de-Fonds (Suisse)
• 19 novembre 2017 - 16h00 & 20h30 - Festival les Automnales - Veyre-Monton (63)
• 21 décembre 2017 - Cébazat (63)
• 22 décembre 2017 - Cébazat (63)
• 18 janvier 2018 - La Souterraine (23)

 
La Valse des HommelettesLes spectateurs entrent. Devant eux : un coucou suisse géant. Les contes de fées suivent généralement une mécanique bien huilée. « La valse des hommelettes » ne fait pas exception. Il tourne comme une horloge, et - littéralement - autour d’une horloge. Mais celle-ci ne tourne pas rond. C’est une horloge de fées, un peu folle, et peut-être même un peu cassée. Les elfes l’ont trafiquée.
Ce coucou possède toutes les caractéristiques de ses confrères de la Forêt Noire, à deux ou trois différences près. Dont une, notoire : il a une heure de plus à son cadran !
C’est dans ce laps de temps caché que les elfes peuvent se mêler des affaires des hommes, à leur manière ambivalente...


samedi 24 juin 2017

Les spectacles du K Samka en Avignon 2017




DAN JEMMETT
"CLYTEMNESTR@POCALYPSE"

THEATRE DU CHENE NOIR 
AVIGNON 

DU 7 AU 30 JUILLET 2017 A 12H45
(Relâche les lundis 10, 17 et 24)



Merci de réserver votre place par mail ou téléphone
auprès de Karinne Méraud :
+33 (0)6 11 71 57 06







 

 




HOVNATAN AVEDIKIAN
"ESPERANZA"

THEATRE DES HALLES
AVIGNON 

DU 6 AU 29 JUILLET 2017 A 17H00
(Salle Chapiteau - Relâche les lundis 10, 17 et 24)



Lundi 24 juillet à 19h, au village du OFF, le Club de la Presse Grand Avignon-Vaucluse a remis pour la 11ème édition ses prix « Coups de Coeur #OFF2017 » aux compagnies suivantes (par ordre alphabétique de leur titre) :

ESPERANZA

NOCE

UN DEMOCRATE






LA PROVENCE 

Juillet 2017


Ce n’est pas une pièce, c’est un tableau
chorégraphié. Une peinture de
geste. Une danse? Pas tout à fait.
Sur une scène vide, ils sont huit
comme un seul sur ce radeau de La
Méduse moderne, peint et mis en
scène par Hovnatan Avédikian, L’Esperanza,
ce transporteur de «viande
à cons». Répétée et jouée à la Maison
d’Arrêt de Nice, la pièce au décor
plus que minimaliste laisse place
à l’extraordinaire performance des
acteurs. L’«esperanza», c’est eux,
c’est Lampedusa, c’est ce monde
fantasmé pour lequel ils risquent
tout, c'est l'Europe. Loin de cette
terre où même «le pain sent la race,
la dictature, les mères qui pleurent,
la corruption». Les acteurs divaguent
le regard au loin, ils ne
parlent pour personne, ils parlent
pour eux-même, ils parlent à tous.
Ils offrent la vision de leurs peurs,
de leurs rêves, de leur monde, celui
des Harragas (les migrants clandestins
qui prennent la mer) dont ils
proclament la république. Une république
qui «condamne l’oppression
et le meurtre des rêves». Un texte
puissant, entre rap et poésie. Ca
slame, ça claque, c’est dur, drôle, ça
dérange, ça éveille. Le texte, écrit
par Aziz Chouaki il y a déjà sept ans
résonne plus que jamais aujourd'hui
dans nos têtes. Une vraie claque.

Marine Girard



Merci de réserver votre place par mail ou téléphone
auprès de Karinne Méraud :
+33 (0)6 11 71 57 06


 

mercredi 7 juin 2017

Lecture de Romane Bohringer - Mon Pays, Ma Peau

Bonjour,

J'ai le plaisir de vous annoncer la lecture de "Mon Pays, Ma Peau"
 avec Romane Bohringer et Jean-Baptiste Anoumon
Le lundi 19 juin à 11h00 au Théâtre de l'Oeuvre (55 rue de Clichy, 75009 Paris)


Mon Pays, Ma Peau 



D’après “Country of my skull” de Antjie Krog
Adaptation et mise en scène Lisa Schuster


Merci de réserver votre place auprès de Karinne Méraud : 



+33 (0)6 11 71 57 06

Dernières dates de tournée - Le Cas Sneijder

Chères amies et Chers amis,
Nous venons de créer LE CAS SNEIJDER au théâtre de l'Atelier ; le spectacle est unanimement salué par la presse et les professionnels et accueilli très chaleureusement par le public qui assiste chaque soir aux représentations...
Pierre Arditi, qui a le rôle de Paul Dubois a été nommé dans la catégorie meilleur acteur aux Molières 2017.


LE CAS SNEIJDER est le pari d'une création théâtrale à partir du roman de Jean Paul Dubois, c'est une comédie acide où l'on voit un homme fragile et modeste résister à sa manière au monde vertical de la performance et du management ; il est le frère d'autres personnages à qui j'ai souvent voulu donner la parole sur scène dans les spectacles que j'ai créés, ceux du théâtre de Daniel Keene, Péreira de Tabucchi, l'homme du Square de Marguerite Duras... il nous amuse grâce à l'humour dévastateur de l'auteur, il nous émeut, il nous ressemble dans un moment de l'Histoire où l'art de la réussite à tout prix semble être une valeur incontournable de nos sociétés ; sa résistance est la nôtre et sa défaite n'est pas définitive...
C'est aussi le pari d'une théâtralité exigeante que les spectateurs partagent avec enthousiasme, où le son, la lumière, la machine scénographique jouent un rôle primordial.

LE CAS SNEIJDER sera proposé en tournée nationale durant la saison 2018-2019 (Jauge maximum 600 ou 700 places en série); vous pouvez le voir au Théâtre de l'Atelier jusqu'au 22 avril. Les dernières représentations de la tournée de création auront lieu au Théâtre de Célestins à Lyon du 14 mai au 3 juin ; puis au Théâtre-Sénart, scène nationale / petite salle du 7 au 11 juin, et du 15 au 17 juin à la scène nationale de Châteauvallon.
Mon équipe et moi-même comptons sur votre présence à l'une ou l'autre des représentations proposées en espérant que LE CAS SNEIJDER saura vous convaincre et vous séduire ainsi que votre public.
Didier Bezace / Compagnie L'Entêtement Amoureux.

Le cas Sneijder 


de Jean-Paul Dubois



D’après Le cas Sneijder de Jean-Paul Dubois,
© Éditions de l’Olivier, 2011
Également disponible aux Éditions Points
 
Adaptation et mise en scène de Didier Bezace
 
Avec
Pierre Arditi, Paul Sneijder
Sylvie Debrun, Anna Keller, épouse de Paul
Morgane Fourcault, Marie, fille de Paul
Thierry Gibault, Yorgos Charisteas
Philippe Morier-Genoud, Charles Wagner-Leblond
Fox, Charlie
Et les voix de Aurélien Gabrielli, Hugo Matthias Hejnar, Nicolas

Collaboratrice artistique et accessoires : Dyssia Loubatière
Dramaturge : Laurent Caillon
Scénographie : Jean Haas et Didier Bezace
Lumières : Dominique Fortin
Création sonore : Pierre Bodeux
Musique : Olivier Lecoeur, Reynaldo Hahn, Didier Squiban, Terje Rypdal & David Darling
Costumes : Cidalia da Costa, assistée de Anne Yarmola
Maquillage - Coiffure : Cécile Kretschmar
Educateur animalier : Max Crochet, Fabrice Kein
Construction de décor : Atelier Devineau
Régie générale et régie lumière : Léo Thévenon
Régie plateau : Jeanne Putelat
Régie son : Pierre Bodeux
Machiniste-accessoiriste : Amina Rezig
Habilleuse, coiffeuse : Liza Winzelle



Création le 21 février 2017 au Théâtre de l'Atelier à Paris
• 21 février au 22 avril 2017 (relâche lundis) - Théâtre de l'Atelier - Paris
• 25 et 26 avril 2017 - Théâtre Montansier - Versailles (78)
• 2 au 6 mai 2017 - Scène Nationale La Coursive - La Rochelle (17)
• 8 au 13 mai 2017 - Scène Nationale La Coursive - La Rochelle (17)
• 16 au 21 mai 2017 - Théâtre des Célestins - Lyon (69)
• 23 au 28 mai 2017 - Théâtre des Célestins - Lyon (69)
• 30 mai au 3 juin 2017 - Théâtre des Célestins - Lyon (69)
• 7 au 11 juin 2017 - Théâtre-Sénart, scène nationale  (77)
• 15 au 17 juin 2017 - Scène Nationale - Châteauvallon (83)



La presse en parle...
Le travail "en profondeur" de Didier Bezace est remarquable. Dans l'esprit comme dans la lettre le metteur en scène donne à la pièce une vérité cruelle au bord du pathétique.
Figaro Magazine - Philippe Tesson

Didier Bezace adapte avec brio le roman éponyme de Jean-Paul Dubois avec un Pierre Arditi phénoménal.
Le Parisien - Sylvain Merle

La mise en scène savamment rythmée de Didier Bezace déploie avec force et maîtrise la chute programmée d'un homme meurtri et insoumis. Pierre Arditi, méconnaissable, incarne corps et âme cet anti-héros revenu de tout dont la solitude éperdue qui embrasse celle de la condition humaine, nous étreint.
Publikart - Amaury Jacquet

Des comédiens stupéfiants de justesse.
La Croix - Didier Méreuze
Ce que Didier Bezace met en scène, c'est peut-être surtout l'obstination de la pensée, la liberté du doute, contre un destin incontrolable qui vous broie. C'est aussi la consolation fugace du rêve, quand tout vous est arraché. A travers cette quête si humaine, Didier Bezace et les siens proposent un moment de théâtre vraiment fort et émouvant.
La Terrasse - Agnès Santi


lundi 29 mai 2017

Dan Jemmet au Théâtre du Chêne Noir - Avignon - Clytemnestr@pocalypse


Clytemnestr@pocalypse - Partie I

Du 7 au 30 juillet 2017 à 12h45
au Théâtre du Chêne Noir - Avignon
(relâche les lundis 10, 17 et 24) 



Au milieu de nulle part entre une attraction de foire et dans un vieux bar/bistrot abandonné dans l’Ouest de la Virginie, cinq saltimbanques jouent la tragédie d’Iphigénie et d’Agamemnon.
Le choeur, enivré d’un whisky bas de gamme et fumant des cigarettes sans filtres, est assis, boit et attend. Il lance le Juke Box, en attendant le retour d’Agamemnon.
Agamemnon est parti depuis maintenant 10 ans, et sa femme, Clytemnestre, a passé la plupart de son temps à planifier le meurtre horrible et parfait de son époux, lorsqu’il sera de retour. Pendant 10 ans, elle a servit des boissons et préparer à manger pour ses clients. Pendant 10 ans, elle a pleuré la mort de sa fille Iphigénie, brutalement sacrifiée par son mari, avant qu’il ne parte en voyage.
Et elle a rencontré un amant, Egisthe, le cousin d’Agamemnon, dont les demi-frères ont été cuisinés dans une tarte, et servit à son père, par le père d’Agamemnon. La sordide histoire de cette famille restera ancrée à tout jamais.
Egisthe rêve de voir Agamemnon mort...
Dan Jemmett